Après avoir décidé de suivre son étoile, symbole de sa destinée, notre héros décide de se mettre à l'aise en chemin. Malheureusement pour lui, les forces de l'ordre n'apprécient pas sa tenue décontractée et l'emmènent au poste de police. Heureusement, deux amis viennent le libérer, ainsi que son double. Mais la peur de la mort le ronge et le conduit à la démence, où il est finalement admis en clinique psychiatrique.

Dans ses rêves, notre héros rencontre des ancêtres, une famille idéale, des femmes mystérieuses et un buste de femme renversé. Finalement, il comprend que ces rêves annoncent la mort d'Aurélia. Il rédige même un récit de la création du monde inspiré par sa mythologie personnelle.

Pourtant, son salut ne se trouve pas dans la religion, malgré ses tentatives. Même s'il immole tous les souvenirs d'Aurélia pour s'attirer les grâces de Dieu, ses peurs et ses névroses le rattrapent toujours.

Isis, la déesse, lui apparaît en rêve pour lui révéler qu'elle a été toutes les femmes qu'il a aimées. Le lendemain, il se prend pour Napoléon et finit par être interné à nouveau.

Heureusement, le narrateur rencontre un étrange personnage autiste, Saturnin, qui devient son intermédiaire entre la vie et la mort. Lorsque Saturnin retrouve l'usage de la parole, il explique au narrateur les raisons de son mal, qui n'est autre que sa croyance d'être au Purgatoire.

Finalement, notre héros trouve son salut en concevant ses expériences comme une descente aux enfers. Et si vous voulez mon avis, c'est une bien meilleure stratégie que de suivre une étoile en étant tout nu...